Mar 6, 2025 | Uncategorized
Depuis 1999, la Société d’Aménagement Foncier (SAF) dirigée par Mme Cécile POYER et M. Christian POYER s’est imposée comme un acteur majeur de l’aménagement foncier dans la région. Derrière chaque lotissement comme le Domaine de Lus à Gan ou La Linière à Billère se cache un processus minutieux et complexe. Découvrons ensemble les étapes essentielles qui transforment une simple parcelle en un lieu de vie harmonieux.
L’étude de faisabilité : les fondations du projet
Tout commence par une analyse approfondie du terrain et de son potentiel. La SAF évalue plusieurs paramètres cruciaux :
- La situation géographique et la topographie du site
- Les contraintes techniques et environnementales
- La conformité avec les règles d’urbanisme locales
- L’intégration dans le tissu urbain existant
- La viabilité économique du projet
Cette première phase détermine si le terrain peut accueillir un lotissement viable et harmonieux, en accord avec les besoins du territoire.
La concertation avec les acteurs locaux
En tant qu’aménageur foncier expérimenté, la SAF sait que la réussite d’un projet passe par le dialogue. Nous prenons connaissance des souhaits communaux d’urbanisme pour concevoir un projet qui s’intègre parfaitement dans la vision d’aménagement du territoire. Cette concertation permet d’anticiper les attentes des futurs habitants tout en respectant l’identité locale.
La conception : donner vie au projet
Une fois le terrain sélectionné et les orientations définies, notre équipe passe à la phase de conception :
- Élaboration des plans de division parcellaire
- Définition des espaces communs et des voiries
- Intégration des aspects paysagers et environnementaux
- Estimation détaillée des travaux d’infrastructure nécessaires
Pour des projets comme le Domaine de Lus à Gan ou Lou Baradat à Coarraze, nous portons une attention particulière à créer des espaces de vie équilibrés, où le bâti s’harmonise avec les espaces naturels.
Les démarches administratives et réglementaires
Cette étape, bien que moins visible, est fondamentale. La SAF prend en charge l’ensemble des procédures :
- Dépôt du permis d’aménager
- Respect des normes environnementales
- Conformité avec le Plan Local d’Urbanisme
- Obtention des autorisations nécessaires
Notre expertise nous permet de naviguer efficacement dans ce paysage réglementaire complexe, évitant ainsi les retards et complications.
L’intégration environnementale : une priorité
Chaque projet de la SAF intègre une dimension environnementale forte :
- Préservation de la biodiversité locale
- Gestion optimisée des eaux pluviales
- Limitation de l’artificialisation des sols
- Aménagements paysagers adaptés au climat local
Ces considérations ne sont pas accessoires mais constituent l’ADN même de nos lotissements, pour un cadre de vie durable et agréable.
La réalisation des infrastructures
Une fois les autorisations obtenues, la phase opérationnelle démarre :
- Viabilisation des terrains (eau, électricité, télécommunications)
- Création des voiries et des réseaux
- Aménagement des espaces communs
- Mise en place des équipements collectifs
À chaque étape, nous veillons à la qualité des infrastructures pour garantir la pérennité de nos aménagements.
La commercialisation : donner vie au quartier
La dernière étape consiste à commercialiser les lots auprès des particuliers ou des professionnels. La SAF accompagne chaque acquéreur dans son projet :
- Présentation détaillée des terrains disponibles
- Conseil sur les possibilités d’aménagement
- Accompagnement administratif
- Suivi personnalisé jusqu’à la réalisation
Nos programmes actuels comme le Clos de Lus à Gan, le Domaine des Prés à Uzos ou les espaces professionnels de La Linière à Billère témoignent de cette approche complète et attentive.
Une vision à long terme
Ce qui distingue la SAF, c’est notre vision globale et notre engagement sur la durée. Nous ne concevons pas simplement des lotissements, mais de véritables lieux de vie qui s’inscrivent harmonieusement dans leur environnement et qui répondent aux besoins des habitants pour les décennies à venir.
Depuis plus de 20 ans, notre approche méticuleuse a permis de créer des espaces résidentiels et professionnels de qualité dans toute la région. Chaque nouveau projet bénéficie de cette expérience accumulée et de notre connaissance approfondie du territoire.
Pour découvrir nos projets en cours ou obtenir plus d’informations sur nos services d’aménagement foncier et de promotion immobilière, n’hésitez pas à nous contacter au 📞 06 66 17 66 12 ou par email à 📧 contact@saf64.fr.
Nous restons à votre disposition au 📍15 rue Faraday, Espace de la Linière 1, 64140 BILLERE.
Fév 10, 2025 | Uncategorized
Que vous soyez propriétaire depuis longtemps ou que vous veniez d’acquérir un bien immobilier, sachez que l’installation et l’utilisation d’une boîte aux lettres sont encadrées par des règles précises. Dimensions, homologation, emplacement… Voici un tour d’horizon des principales obligations à respecter.
Quelles dimensions pour une boîte aux lettres ?
Si vous êtes propriétaire ou bailleur, votre boîte aux lettres doit répondre aux normes AFNOR en vigueur depuis le 17 juillet 1979. Ces normes garantissent une accessibilité optimale aux services postaux.
Dimensions minimales à respecter :
- Largeur : 26 cm
- Hauteur : 26 cm
- Profondeur : 34 cm
Dimensions de la fente :
- Largeur : 22 cm
- Hauteur : 3 cm
Porte-nom : Il doit mesurer au maximum 100 mm x 24 mm pour être conforme.
Homologation et sécurité
Votre boîte aux lettres doit être homologuée selon les normes NF D27-404 et NF D27-405. Ces standards garantissent un niveau de sécurité adéquat, notamment en ce qui concerne l’accès du facteur et la protection contre les vols.
Serrure agréée : Une serrure PTT est obligatoire pour permettre au facteur d’y déposer des colis volumineux via une clé passe-partout. Cela facilite également l’expédition et le retour de colis directement depuis votre boîte aux lettres.
Règles d’installation
L’installation d’une boîte aux lettres doit répondre à plusieurs critères pour assurer un accès pratique aux services postaux.
Hauteur réglementaire :
- La partie inférieure doit être située à au moins 1 mètre du sol.
- La partie supérieure ne doit pas dépasser 1,50 mètre.
- Pour les personnes en fauteuil roulant, elle doit être installée entre 0,90 et 1,30 mètre.
Emplacement idéal :
- Fixée sur un mur ou un poteau en bordure de voie pour un accès rapide.
- Située dans un endroit dégagé et éclairé, sans obstacle (branches, grillage, etc.).
- L’étiquette avec votre nom et prénom doit être lisible (pas de format imposé).
Connexion au réseau postal
Comme pour l’électricité ou l’eau, votre boîte aux lettres doit être raccordée au réseau postal. Si votre logement n’en dispose pas encore, vous devez effectuer une demande de raccordement auprès de La Poste.
Spécificités en copropriété
Dans une résidence collective, des règles spécifiques s’appliquent :
Bloc de boîtes aux lettres unique : il doit permettre une ouverture simultanée pour faciliter la distribution du courrier.
Espace devant le bloc : un dégagement d’au moins 1,20 mètre doit être respecté.
Étiquetage des noms : défini par le syndic, qui facture généralement entre 20 € et 30 € par occupant pour une harmonisation.
En résumé
Respecter ces réglementations est essentiel pour garantir la bonne réception de votre courrier et éviter toute complication. Vérifiez bien que votre boîte aux lettres est conforme en termes de dimensions, homologation et installation afin d’éviter tout désagrément !
Jan 21, 2025 | Uncategorized
Des imprévus de la vie peuvent compliquer le remboursement d’un prêt immobilier. Heureusement, plusieurs options permettent d’ajuster les modalités de remboursement et d’alléger la charge financière.
1. Ajuster les mensualités : report ou réduction
Les contrats de crédit immobilier incluent souvent des clauses permettant :
- Le report des mensualités : suspension temporaire des paiements du capital (les intérêts restent dus). Cela prolonge la durée du prêt d’une période pouvant aller jusqu’à 12 mois selon les contrats.
- La réduction des mensualités : diminution du montant à rembourser chaque mois, parfois jusqu’à 30 %. Cette option est utile en cas de difficultés durables.
Même si ces clauses ne figurent pas dans votre contrat, vous pouvez solliciter la banque, bien que son accord ne soit pas garanti.
Attention : ces aménagements augmentent le coût total du prêt en raison d’intérêts supplémentaires.
2. Activer l’assurance emprunteur
L’assurance emprunteur peut prendre en charge tout ou partie des mensualités dans certains cas, notamment :
- Décès de l’emprunteur ;
- Invalidité permanente ;
- Perte d’emploi (généralement liée à un licenciement pour les salariés en CDI).
Pour activer cette assurance, contactez votre assureur avec les justificatifs nécessaires (attestation de chômage, lettre de licenciement, etc.). Notez que les garanties perte d’emploi sont souvent restrictives.
3. Renégocier ou regrouper vos crédits
- Renégociation de crédit : Si les taux d’intérêt ont baissé depuis la souscription de votre prêt, demandez une renégociation auprès de votre banque ou d’un nouvel établissement. Cela peut réduire significativement vos mensualités.
- Regroupement de crédits : Si plusieurs prêts (auto, travaux, renouvelable) alourdissent votre endettement, combinez-les en un seul crédit à taux réduit. Cela simplifie la gestion et diminue les paiements mensuels.
4. Demander une suspension judiciaire
En dernier recours, l’article L314-20 du Code de la consommation permet de demander un délai de grâce auprès du tribunal.
- Durée : jusqu’à 2 ans maximum.
- Avantage : suspension des paiements sans accumulation d’intérêts ni pénalités.
Cette option est réservée aux situations extrêmes (licenciement, maladie grave) et nécessite l’intervention d’un avocat.
5. Réagir rapidement
Face à des difficultés, il est crucial de :
- Contacter votre banque dès les premiers signes d’imprévu ;
- Envisager toutes les solutions disponibles ;
- Éviter d’accumuler des impayés qui compliqueraient la négociation.
Avec une réaction rapide et les bons ajustements, il est possible d’éviter la saisie du bien tout en reprenant le contrôle de vos finances.
Déc 24, 2024 | Uncategorized
Chaque année, le secteur immobilier évolue. En 2025, plusieurs réformes majeures impacteront les propriétaires et locataires. Malgré l’incertitude politique, certaines mesures clés restent prévues.
Performance énergétique : calendrier maintenu
Dès janvier 2025, les logements classés G au DPE seront interdits à la location, sauf pour les baux en cours. Propriétaires, anticipez les travaux pour éviter de voir votre bien dévalorisé.
APL : décalage de paiement
Les aides au logement pourraient être versées avec retard, risquant de fragiliser les budgets des locataires.
MaPrimeRénov’ : baisse des plafonds
Les aides à la rénovation diminueront pour les ménages modestes, tandis que certains équipements comme les chauffages au bois seront moins subventionnés.
PTZ élargi
Le prêt à taux zéro pourrait à nouveau s’appliquer aux maisons individuelles et sur tout le territoire. Ce dispositif reste disponible jusqu’en 2027.
Frais de notaire : statu quo incertain
L’augmentation prévue des droits de mutation est suspendue mais pourrait être relancée par un nouveau gouvernement.
Fiscalité des locations meublées
Les avantages fiscaux liés aux locations meublées restent en discussion. Ce régime pourrait évoluer pour rééquilibrer le marché locatif.
Taux d’emprunt en baisse
Les taux immobiliers pourraient passer sous les 3 % début 2025, stimulant les achats.
Copropriétés : hausse des frais d’entretien
Les normes de sécurité des ascenseurs imposeront des mises à jour technologiques dès janvier 2025, augmentant les charges de copropriété.
Fiscalité immobilière
Le régime micro-BIC sera révisé, affectant les abattements sur les revenus locatifs.
2024 : Rétrospective des changements clés
En 2024, la baisse des prix immobiliers s’est amorcée et le PTZ s’est élargi. MaPrimeRénov’ s’est concentrée sur les passoires thermiques, et la garantie Visale a été étendue. Les Jeux Olympiques ont également dopé temporairement le marché locatif.
Anticiper ces évolutions est crucial pour sécuriser et optimiser vos investissements immobiliers.
Déc 4, 2024 | Uncategorized
Quel que soit le projet, la réception de fin de chantier est une étape essentielle. C’est le moment idéal pour examiner le travail réalisé et signaler toute réserve.
Pourquoi la réception de chantier est-elle indispensable ?
La réception de fin de chantier marque l’aboutissement de vos travaux, qu’il s’agisse de construction ou de rénovation. Cette visite, réalisée en présence des artisans ou intervenants concernés, permet de vérifier la conformité des travaux par rapport au contrat.
Bien qu’elle ne soit pas légalement obligatoire, elle est fortement conseillée pour protéger vos intérêts.
La signature du procès-verbal de réception enclenche les garanties légales suivantes :
- Garantie de parfait achèvement : d’une durée d’un an, elle impose la correction de toutes les anomalies signalées à la réception.
- Garantie de bon fonctionnement : valable deux ans, elle couvre la réparation ou le remplacement des équipements défectueux.
- Garantie décennale : valable dix ans, elle s’applique aux dommages qui compromettent la solidité ou l’usage normal du bâtiment.
Quels points contrôler lors de la réception ?
La durée de la visite dépend de l’ampleur des travaux. Ce temps doit être mis à profit pour une inspection minutieuse. Voici les points clés à vérifier :
- Conformité au devis initial :
- Assurez-vous que tous les travaux prévus ont été réalisés. Si un maître d’œuvre est présent, il pourra vous assister.
- Attention : un élément non mentionné dans les réserves du procès-verbal sera considéré comme validé.
- Documentation visuelle :
- Prenez des photos du chantier terminé. Ces images pourront servir de preuve, notamment en cas de vices cachés.
- Travaux intérieurs :
- Contrôlez le bon fonctionnement des installations comme les chaudières, fenêtres, ou encore les isolations des combles. Examinez également la qualité des finitions et de la maçonnerie.
- Travaux extérieurs :
- Faites le tour complet du chantier. Inspectez la façade, la toiture (depuis un point de vue dégagé), et les équipements tels que les panneaux photovoltaïques.
Et après la réception des travaux ?
Deux scénarios sont possibles selon vos constatations :
- Si tout est conforme :
Vous signez le procès-verbal, officialisant ainsi l’acceptation des travaux.
- Si des anomalies sont détectées :
Vous avez deux options :
- Accepter avec réserves :
- Mentionnez précisément les problèmes constatés dans le procès-verbal et fixez un délai pour leur résolution.
- Informez le maître d’œuvre par courrier recommandé avec accusé de réception.
- Refuser la réception :
- Si les malfaçons sont importantes ou si le chantier est inachevé, reportez la réception. Une nouvelle visite sera planifiée pour permettre la finalisation des travaux.
Enfin, si vos travaux nécessitaient un permis de construire, transmettez à la mairie une copie du procès-verbal de réception ainsi qu’une Déclaration attestant l’achèvement et la conformité des travaux (DACT).
En suivant ces étapes, vous garantirez un suivi rigoureux et la sécurité de votre investissement.
Nov 13, 2024 | Uncategorized
Vous envisagez d’acheter une maison neuve et avez choisi de faire construire votre propre logement ? Financement, démarches administratives, choix du terrain, plans, matériaux, suivi des travaux : chaque étape est cruciale pour éviter les mauvaises surprises.
Construction de maison : estimer et financer votre projet
Construire sa maison demande une préparation minutieuse ainsi qu’un budget adéquat. Pour financer votre projet, vous pouvez consulter votre banque, une banque spécialisée en crédit immobilier, un courtier, ou même votre constructeur.
Pour obtenir un prêt, un dossier solide se fonde sur un emploi stable, une bonne gestion financière (sans découvert), une mensualité de crédit n’excédant pas un tiers de vos revenus, et un apport (généralement 40 %, dont 10 % minimum en fonds propres ; le reste peut provenir d’un prêt à taux zéro ou d’un soutien familial). N’oubliez pas que, outre le coût du terrain et de la construction, d’autres dépenses s’ajouteront, comme les impôts, les assurances, et potentiellement le bornage du terrain.
Permis de construire, plan de maison et choix du terrain
Pour démarrer un projet de construction, vous devrez obtenir un permis de construire, une autorisation indispensable. Ce document s’obtient en déposant un dossier complet auprès de la mairie où se situe le terrain.
Côté plans, deux options s’offrent à vous : opter pour une maison clés en main, avec des modèles standards, ou faire appel à un architecte pour concevoir un plan personnalisé. Bien que plus coûteuse, cette dernière option vous permet de façonner un logement sur mesure, en accord avec vos besoins et vos goûts, mais elle exige également un suivi rigoureux. Bien qu’il soit possible de construire soi-même, cela présente des risques, notamment en cas de malfaçon, car aucune garantie ne s’applique dans ce cas.
Le choix du terrain est essentiel et doit être en accord avec votre budget, votre projet et votre situation personnelle. Avant d’acheter, prenez soin de consulter les documents d’urbanisme auprès de la mairie, tels que les certificats d’urbanisme, le plan de prévention des risques naturels, le plan local d’urbanisme et le cadastre.
Sélection des matériaux de construction
Les matériaux choisis influencent la qualité de l’isolation et la consommation énergétique de votre maison. Pierre, brique, parpaing, toiture en tuiles ou ardoises… examinez les avantages et inconvénients de chaque matériau en fonction de votre budget et de vos préférences. N’oubliez pas d’inclure les choix des cloisons, des sanitaires, du système de chauffage et des revêtements de sol (carrelage, parquet, moquette, etc.).
Suivi de chantier
Une fois les travaux entamés, veillez à leur bon déroulement. Le contrat signé (souvent un Contrat de Construction de Maison Individuelle – CCMI) précise les modalités de visite du chantier. Si vous relevez un défaut, signalez-le sans délai pour correction. En cas de non-résolution, une mise en demeure par lettre recommandée peut être nécessaire. Si la solidité de l’ouvrage est compromise, vous pouvez saisir le juge des référés pour ordonner l’arrêt temporaire des travaux.
Garanties et assurances
Après réception de la maison, renseignez-vous sur les différentes garanties et assurances incluses, afin de pouvoir emménager sereinement dans votre nouveau logement.